Maternelle, école, collège, lycée ... et aussi l’université !
27 mai 2009, 10:14, par Descartes
Aux Etats-Unis, les subventions publiques sont réduites à la portion congrue et
les Universités, musées, lieux de culture, sont financés par des fondations qui bénéficient de dotations privées amplement défiscalisées. Actuellement ces établissements sont confrontés à l’effondrement des financements privés.
Ce mode de financement n’est pas trés éloigné de ce que la loi LRU (Libertés & Responsabilités des Universités) a intégré pour les universités françaises : la possibilité de se financer par le biais de fondations.
Il est donc primordial de soutenir l’université française dans son financement public à 100%, éloigné des périls du marché, faute de quoi, les présidents d’universités pourraient être contraints d’ici peu d’augmenter les frais d’inscriptions pour renflouer les budgets
La crise donne un éclairage éclatant à la gestion des services publiques, dont l’université, à la française que certains voient comme un héritage archaïque.
Aux Etats-Unis, les subventions publiques sont réduites à la portion congrue et
les Universités, musées, lieux de culture, sont financés par des fondations qui bénéficient de dotations privées amplement défiscalisées. Actuellement ces établissements sont confrontés à l’effondrement des financements privés.
Ce mode de financement n’est pas trés éloigné de ce que la loi LRU (Libertés & Responsabilités des Universités) a intégré pour les universités françaises : la possibilité de se financer par le biais de fondations.
Il est donc primordial de soutenir l’université française dans son financement public à 100%, éloigné des périls du marché, faute de quoi, les présidents d’universités pourraient être contraints d’ici peu d’augmenter les frais d’inscriptions pour renflouer les budgets
La crise donne un éclairage éclatant à la gestion des services publiques, dont l’université, à la française que certains voient comme un héritage archaïque.