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Un nouveau cimetière : une nécessité absolue

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Le cimetière St-Michel est pratiquement saturé, malgré les « reprises de concession » que nous avons menées depuis plusieurs années. Le PLU approuvé en 2006 (à l’unanimité du conseil) a défini un emplacement réservé sur la route du Saint-Doué. Il est grand temps de mettre en oeuvre ce nouveau cimetière. Et le temps de rafraîchir la mémoire de ceux qui ne veulent pas se rappeler les faits.

Mémoire courte ou mensonge délibéré ?

Dans les réunions préparatoires du PLU, auxquelles étaient associés des élus de l’opposition et aussi des amis qu’ils avaient choisis, le constat avait été vite fait de la saturation prochaine du cimetière actuel et donc de la nécessité de choisir le site d’un nouveau cimetière. Les terrains disponibles étaient évidemment en dehors de la ville et la commission a exploré plusieurs hypothèses : route de Limerzel, route de Berric, etc. avant de retenir les terrains de la lande du Grand Célac, qui ont été inscrits en « emplacements réservés » au PLU approuvé en 2006.

Les terrains qui jouxtent le cimetière actuel étaient au POS de 1994 classés en zone d’habitat. Et ils ont gardé la même destination dans le PLU. A aucun moment, il n’a été prévu de les utiliser pour le cimetière.

Le nouveau cimetière, c’est trop loin ?

Trop loin de quoi ? du clocher de l’église ? Admettons que c’est un peu plus loin que la partie Est du cimetière qu’on atteint en suivant la rue du Calvaire. Mais pour les familles qui résident à Bel-Air, Kermaté, ou Kergraslan ? Cela fait-il une différence ? Dans tous les cas, on prend la voiture. Et le nouveau site prévoira évidemment les parkings adaptés pour les moments comme la Toussaint.

Accès dangereux pour les piétons ?

Tout le monde est conscient que la route de Saint-Doué est dangereuse, trop étroite, sinueuse, etc. Nous avons prévu la sécurisation de ce tronçon délicat entre le bas de la rue du Pont-à-Tan et les nouveaux lotissements du Grand Célac. La première étape est la construction de la passerelle bois au-dessus du ruisseau et du marais. Nous avons acquis les emprises nécessaires pour réaliser une cheminement doux entre le pont et la rue du Pont-à-Tan. Nous avons aussi un accord verbal du propriétaire pour acquérir de quoi tracer la continuité de cette voie piétons-vélos jusqu’à l’emprise du futur cimetière.

Un lieu de recueillement et de promenade

Nous avons tous besoin d’aller plus ou moins souvent nous recueillir sur les tombes de nos proches. Est-il nécessaire que ce soit dans un endroit minéral, presque sinistre ? Le nouveau cimetière sera aussi un lieu de promenade nostalgique, où la tristesse sera apaisée par le calme de la nature. Pas la peine d’en faire aujourd’hui un argument électoral un peu démagogique.

Publié le mercredi 12 février 2014, par Paul Paboeuf.

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