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Travaux de voirie en ville

Un nouveau revêtement avec un liant végétal

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Les travaux de voirie prévus au budget commencent en ce début septembre. Le quartier de la Tour Belmont, la rue du Reliquaire vont connaître un bouleversement et, après les ennuis provoqués par le chantier, une belle amélioration.

La place de la Tour Belmont va être redessinée de façon à améliorer la circulation et le stationnement. La rue du Reliquaire et la rue Saint-Michel seront aussi refaites. Par la même occasion, les toilettes de la place, qui sont régulièrement vandalisées et qui sont souvent squattées pour d’autres usages (!) seront refaites sur un modèle plus moderne et plus fonctionnel : elles ne pourront plus servir de lieu de rendez-vous...

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Les travaux vont bon train

Pour le revêtement, les services techniques ont proposé un revêtement à base de liant végétal au lieu du goudron traditionnel qui est un dérivé du pétrole. Une manière de respecter les contraintes environnementales et de se conformer aux exigences de l’Agenda 21. Le coût de ces travaux s’élève à 315 067,56 € HT.

Le chantier suivant sera la réalisation du parking rue Saint-Martin (42 684,40 € HT) . Mais il y aura aussi l’aménagement du bas de la place du Général de Gaulle(34 405,52 € HT) et des aménagements rue Alain Le Grand qui permettront de supprimer les ralentisseurs et de les remplacer par des coussins berlinois, un dispositif qui réduit la vitesse sans avoir les inconvénients des « gendarmes couchés ».

D’autre part, sur l’avenue des Azalées, les deux petits giratoires prévus pour la desserte du centre de secours et du lotissement du Pont-Digo vont être réalisés prochainement pour un coût de 140 353.50 € HT.

Publié le mercredi 6 septembre 2006.




Post-scriptum

Le SIAEP, syndicat d’adduction d’eau et d’assainissement va également réaliser des travaux place du 8 mai et rue du 11 novembre. Et rappelez-vous que pour la réfection de la rue Alain Le Grand, il faudra attendre que les réseaux soient traités.

Messages

  • Alors là c’est vraiment un mauvais calcul vos coussins berlinois c’est merdique. Les ralentisseurs d’avant étaient beaucoup mieux, ils ralentissaient tout autant sans avoir les inconvénients de ce dispositif, qui est très désagréable quand on passe dessus, tant pour les passagers, que pour le véhicule lui même... En plus avec les plots au milieu de la route, il faut serrer à droite et juste après doubler les voitures garées à droite, c’est encore moins pratique qu’avant !
    Ayant vu ces coussins à Nantes il y a 1 an, j’étais bien content de ne pas en avoir dans ma ville, et bien maintenant on est gaté, on en a nous aussi !!!

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  • Ayant eu des échos négatifs sur les places handicapées à Questembert, j’ai alors fait attention à leur conception et j’ai observé le comportement de leurs usagers...

    A la Poste, la place handicapé se trouve sur le trottoir, la personne handicapée se trouve en situation défavorable pour utiliser son fauteuil roulant, pourquoi mettre des bordures et des dénivellations là où il faudrait des surfaces planes et sans obstacles...

    A l’Iris cinéma, encore pire puisque la place handicapé est sur le même parking que les autres voitures, avec le trottoir côté conducteur. J’ai donc observé le monsieur qui s’était garé là, au bout de plusieurs tentatives pour déplier son fauteuil et pouvoir s’intaller dedans, il l’a rangé dans sa voiture, et est parti se garer en bas du parking où il n’y avait personne et où il avait de la place à manipuler...

    Certes, j’aurais pu aider ce monsieur mais je n’aurais alors pas compris comment en prenant en compte leur handicap, on peut leur compliquer encore plus la vie... et avec des aménagements neufs de 2007 !!! Paradoxal non ?!

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  • C’est peut etre plus écologique de mettre du liant végétal, mais en plus d’être cher, c’est pas solide, suffit de voir les nids de poule en train de se former dans la Rue Saint Michel et qui ont étés rebouchés avec du vrai enrobé bleu marine : le résultat est vraiment pas terrible et après seulement 1 an d’utilisation, alors immaginez dans 5 ans !!! Ca sera encore pire que l’enrobé traditionnel...

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    • Comme vous l’avez vu, la SACER a repris tout le chantier : il y avait eu des failles dans la mise en oeuvre du produit. C’est ce qui a obligé l’entreprise à tout reprendre à ses frais. En attendant cette reprise, les employés communaux ont bouché les ornières qui s’étaient creusées.

      Un regret quand même : sur la première tranche l’autre semaine, l’entreprise avait bloqué le chantier avec des barrières, pour stabiliser le produit. Le lendemain, les barrières avaient été enlevées par de « bons citoyens »... Et toute la place avait été rendue accessible.


      Je vous demande instamment de vous identifier dans vos messages. Je les rendrai anonymes si vous me le demandez, mais je ne les publierai plus si vous n’êtes pas identifié.

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