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SIVOM

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Le SIVOM a été dissous au 31 décembre 2009. Pleucadeuc a rejoint la CC du Val d’Oust à Malestroit. Les 13 communes restantes sont toutes intégrées dans la communauté de communes du Pays de Questembert au 1er janvier 2010. La Communauté de Communes a repris toutes les compétences auparavant déléguées au SIVOM.

Le Syndicat à Vocation Multiple (SIVOM) de Questembert Rochefort regroupe 15 communes. Il gère la piscine, le complexe du Moulin Neuf, les ordures ménagères ; il dispose de services techniques qui peuvent intervenir sur la voirie à la demande des communes. Il est financé par des contributions communales. Par exemple, pour la piscine, les coûts sont supportés à 80 % par la commune de Questembert et à 20 % par les autres communes. Le SIVOM a aussi apporté une contribution pour la construction du lycée (répartition identique des charges). Cependant, les ordures ménagères sont financées par une taxe payée par les usagers sur les bases du foncier bâti.

Publié le lundi 3 janvier 2005.




Post-scriptum

Notre projet en 95 était de transformer le SIVOM en Communauté de communes. Les élus de Pleucadeuc, de Malansac appuyés par ceux de Péaule, en particulier, s’étaient opposés de toutes leurs forces à cette hypothèse. Certains le regrettent amèrement aujourd’hui.

Messages

  • Bonjour. Si, en 1995, la commune de Malansac, entre autres, s’est opposée au changement du sivom en communauté de commune, je pense que c’est parce que les garanties obtenues en tant que membre du sivom n’étaient pas réunies si elle s’était engagée, à ce moment-là, dans la communauté de commune.
    Je suis de Malansac, employé municipal à Lyon. Je vois bien que, de plus en plus, les communautés de communes se constituent et, j’irai même plus loin, je trouve que c’est une bonne chause. Mais il faut penser que Malansac, en surface et en superficie, serait aujourd’hui (si elle rentrait dans la c.com) la 3è commune la plus importante.
    Mais je suis sûr que, voyant toutes les opportunités de l’une de nos deux communes pouvant être apportées à l’autre, une solution commune verra le jour bientôt, entre Malansac et Questembert.
    Je vous envoie mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année 2006 de Lyon, avec mes plus chaleureuses salutations. Y. Poirier.

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    • Bonjour, je voudrais répondre à Y.POIRIER, pour lui dire que je ne comprends pas très bien les raisons pour Malansac de ne pas adhérer dès le départ à la communauté de communes.

      cette commune a perdu sans doute un peu plus de 70 millions de francs(je sais, on parle en euros mais c’est plus clair en Francs) de taxe professionnelle par an (disparition de Doux et départ sur Caden de l’entreprise Thorel). Cela n’aurait pas été le cas si MALANSAC était dans la communauté de communes. De plus l’adhésion de la commune de Malansac aurait générée de la part de l’état des subventions supplémentaires de part son étendue et son nombre d’habitants, comme vous le dites fort justement (3ème commune).

      Malansac était alors le deuxième pôle économique de la communauté de communes, les sommes disparues sont aujourd’hui compensées par l’Etat, mais bientôt viendra le temps de leur disparition définitive et il sera bien difficile de financer les projets de développement pour la commune.

      Vous avez raison, il n’est jamais trop tard pour bien faire. mais MALANSAC à raté la marche, elle a mis un genoux à terre et se relever prendra du temps. Ce qui est perdu est perdu, ce qui n’a pas été versé par l’état est perdu

      On dit que le partenariat c’est l’art de faire des opérations gagnant gagnant. pour le moment on a perdu beaucoup trop à ne pas être les partenaires de la première heure. Bonne année 2006 à toi Y.Poirier et à vous tous. Amicalement, François HERVIEUX Conseiller Général

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    • François LE POUL
      Ancien Maire de Malansac de 1965 à 1983
      Conseiller municipal de 1995 à 2001
      MALANSAC

      En 1995, lorsque Paul PABOEUF a mis sur pieds l’intercommunalité les représentants de MALANSAC au SIVOM ont claqué la porte entr’ouverte en refusant d’y intégrer notre commune.
      Ce faisant ils sont passés à côté de beaucoup d’avantages en ne profitant pas, comme CADEN, LIMERZEL et PLUHERLIN l’ont fait, de façon, il faut bien le dire, courageuse, mais surtout intelligente, des incitations financières qu’il y a eu à se réunir dès ce moment là.

      On ne peut pas comparer le SIVOM et la COMCOM, sinon pour dire qu’au SIVOM les dépenses sont partagées alors que les recettes ne le sont pas.

      L’esprit qui y préside n’est pas du tout le même.

      Le SIVOM qui a permis en son temps de s’unir pour certaines actions, est une structure vieillissante qui disparaîtra peu à peu lorsque les Communautés de Communes auront pris tous les relais.

      Pour faire simple disons que le SIVOM représente l’action en commun du XX ème Siècle, une sorte de galop d’essai pour la Communauté de Communes qui, elle, est le moteur dynamique du XXI ème Siècle !

      Les recettes nouvelles de Taxe Professionnelle et la dotation de l’État sont les ressources propres de la communauté qui les utilise pour sa propre politique : action économique et logement jusqu’ici, culture, tourisme et politique de l’enfance à partir de maintenant.

      En outre, en plus du reversement obligatoire de la TP encaissée avant l’adhésion, la communauté a décidé de verser une dotation de solidarité suivant des critères qui avantagent nettement les petites communes sans grandes ressources.
      Par exemple, 15000 euros pour CADEN (1600 habitants environ), et moins de 27000 pour QUESTEMBERT (7200 habitants environ).

      Ce faisant, les rivalités qui pouvaient exister entre les communes adhérentes ont disparu et se sont transformées en esprit de solidarité, dont certains se gaussent, chaque commune ayant intérêt à ce que la COMCOM toute entière soit prospère et que personne ne reste sur le bord du chemin.

      Le bilan financier sera fait un jour des pertes subies par MALANSAC, qui est resté sur le quai, alors que démarrait le train de la Communauté de QUESTEMBERT, mais le train de l’histoire ne repasse jamais deux fois.

      Il serait plus que temps que nos élus prennent la décision, c’est leur responsabilité, de rejoindre les communes qui se sont regroupées dans la COMCOM.

      Aucune de celles-ci, du canton de ROCHEFORT en TERRE entre autres, ne regrette de l’avoir fait, bien au contraire.

      L’argument de dire que QUESTEMBERT tire seul parti de la Communauté ne vaut rien.
      Questembert n’a aucun intérêt à prospérer telle une oasis au milieu d’un désert et aux dépens de ses associés ; et j’ajouterai que le Maire de QUESTEMBERT, Paul PABOEUF, avec l’esprit communautaire qui le caractérise est le gardien intransigeant de cet état d’esprit.

      Soyons optimistes et prêchons la bonne parole autour de nous.

      L’union est nécessaire, c’est le meilleur moyen de faire face ensemble aux difficultés qui nous assaillent.

      Longue vie et prospérité à la Communauté de Communes du Pays de QUESTEMBERT et à tous ceux qui l’animent, en souhaitant que MALANSAC les rejoigne très vite. Il y a urgence.

      PS : COMCOM = Communauté de Communes

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  • Bonjour messieurs.

    Vous le savez peut-être, j’ai vécu mes 19 premières années à Malansac, puis après avoir quitté la région, j’ai suivi comment évoluait le Père Dodu et Malansac.
    On peut dire ce que l’on veut - et je le respecte - sur la commune, mais lorsque plusieurs communes créent le Parc de la Chaussée, je crois que l’on peut attendre pour délocaliser, même si (dixit Mr Doux au maire) « [on] n’a rien à f... de Malansac » (!), et par conséquent la commune ne soit pas dans la préoccupation des subventions que l’Etat ou qui que soit d’autre veuille bien lui accorder. Il y a eu une période pas si lointaine où un certain Jacques Hervieu a réussi à faire quelque chose de formidable à Pleucadeuc avec son maire, le conseil municipal etc., etc. ..., qui n’est pas moins qu’une référence au niveau national en matière d’investissement dans le développement local, quand on veut bien s’accorder, entre les secteurs privé et public, au dessus de toutes considérations idéologiques ou géographiques.
    Ainsi, cela m’amène à penser que parce que chaque commune peut apporter sa pierre à l’édifice, il est souhaitable d’ouvrir vraiment la porte de la c.com à Malansac.
    Je ne sais pas quelle est la position de Mr Santerre sur le dossier, mais je trouve vraiment dommage de laisser isolée Malansac après qu’elle ait tant apporté aux habitants des communes environnantes, à travers ce bassin économique (ce sont 5 années de formation en Comptabilité et 7 à la mairie centrale de Lyon qui m’amènent à parler en ces termes) et donc d’emploi.
    En ce qui concerne sa situation géographique, sa superficie et sa population (et non sa surface comme je l’ai mentionné dans mon précédent message) elles jouent un rôle majeur : desservi par RFF et maintenant la 2X2 voies, son entrée dans la c.com ferait qu’elle serait avec Caden à la sortie en direction de Redon et, grâce au viaduc, du futur aéroport prévu pour 2015 à Notre Dame des Landes, d’où aussi un attrait touristique important avec le Parc de Préhistoire.
    Toutes sortes de choses permettant le développement économique mais aussi le désenclavement qui a, dans d’autres temps, provoqué le départ de beaucoup de jeunes de la commune, ceux dont je fais partie, à mon grand regret. A bon entendeur ...

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    • Une erreur historiique, mais il n’est jamais trop tard

      Monsieur Poirier,

      Je ne vous redonne pas les arguments sur l’erreur historique de Malansac sur sa non adhésion à la communauté de communes que je développais le 9 janvier 2006 dans la même rubrique de ce site internet. Je vois d’ailleurs que cette décision vous paraît incompréhensible, à vous aussi qui connaissez bien l’organisation des territoires et les conséquences financières que peut avoir une erreur stratégique.

      Malansac aura bientôt l’occasion de corriger cette erreur, le conseil municipal ayant décidé d’émettre un vote courant avril/mai sur cette question. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, il y a maintenant plus d’un an, j’ai moi-même organisé une rencontre avec les conseillers municipaux de Malansac et St Gravé et les services comptables de la trésorerie générale pour aborder les conséquences financières de cette adhésion. Ils avaient alors tous les éléments en main, pour émettre un vote d’adhésion au 1 janvier 2007.

      Hélas un emploi du temps chargé aura sans doute remis cette décision à cette année. J’espère, comme de nombreux habitants de Malansac, que cette décision sera cette fois l’adhésion.

      Je croise les doigts, une partie de la cohérence de l’action sur nos territoires repose sur cette décision et depuis mon élection je n’arrête pas de promouvoir ce projet.

      François Hervieux, Conseiller Général Rochefort en Terre

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    • Bonjour François, Monsieur le conseiller général,
      je vous remercie pour cette réponse si rapide et pour le moins enrichissante !
      En effet, n’étant à Malansac au mieux que deux fois par an (l’été et/ou durant les fêtes de fin d’années), je n’ai pour m’informer de l’actualité qu’internet, la famille, le bulletin municipal quand-même aussi, mais pas beaucoup plus, pour ce qui concerne soit cette candidature (je suis encore à me demander, d’ailleurs, si Malansac n’est pas candidat pour une autre c.com - par exemple celle du pays de Redon. En effet le site fait déjà la publicité du Parc de Préhistoire, et avec St Jacut, le changement de département étant possible pour l’entrée dans un ensemble communautaire - cela s’est produit pour la Communauté Urbaine du Grand-Lyon avec des communes issues de l’Isère, de l’Ain pour peu que l’on soit proche de la limite départementale ! Soit pour le développement du parc de la Chaussée, appelé à mon avis à reprendre le bassin économique mis à mal, toujours à mon avis, par Doux (qu’on ne vienne pas me dire qu’après avoir réduit l’effectif salarié de 600 à 130 en 20 ans, il ne pouvait pas d’attendre que le parc de la Chaussée puisse reprendre le bassin économique et d’emploi qu’il laissait !!! Mais bien évidemment, cela n’est que mon avis personnel ...).
      Ainsi, l’information que vous me donnez ici me rassure vraiment, en attendant pour avril ou mai j’espère aussi l’adhésion à la c.com de Questembert. Je ne tarderai d’ailleurs pas longtemps pour revenir sur ce site pour voir d’éventuels renseignements sur ces sujets.
      A bientôt. Cordialement, Y. Poirier.

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  • o Malansac était alors le deuxième pôle économique de la communauté de communes, les sommes disparues sont aujourd’hui compensées par l’Etat, mais bientôt viendra le temps de leur disparition définitive et il sera bien difficile de financer les projets de développement pour la commune.
    Vous avez raison, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Mais MALANSAC à raté la marche, elle a mis un genou à terre et se relever prendra du temps. Ce qui est perdu est perdu, ce qui n’a pas été versé par l’état est perdu

    Pour réponse à cette déception, bien légitime, je pense qu’elle vient à mon avis du choix de départ de la c. com., pour l’économie et le logement, par rapport à la situation de l’époque - comme vous le dite 2ème pôle économique – de Malansac, ce qui permet une autonomie financière dont la somme pouvait être supérieure à ce que proposait l’incitation d’entrée dans la communauté, d’où un sentiment de « vache à lait » au profit de cette dernière. Maintenant que les compensations de l’Etat arrivent à leur terme, je pense que Malansac va prendre cette décision qui va de soit, et pas seulement pour l’économie locale, même si le développement économique local est préférable à l’assistanat étatique quel qu’il soit (incitations, compensations, subventions).

    o On ne peut pas comparer le SIVOM et la COMCOM, sinon pour dire qu’au SIVOM les dépenses sont partagées alors que les recettes ne le sont pas.
    L’esprit qui y préside n’est pas du tout le même.
    Le SIVOM qui a permis en son temps de s’unir pour certaines actions, est une structure vieillissante qui disparaîtra peu à peu lorsque les Communautés de Communes auront pris tous les relais.
    Pour faire simple disons que le SIVOM représente l’action en commun du XX ème Siècle, une sorte de galop d’essai pour la Communauté de Communes qui, elle, est le moteur dynamique du XXI ème Siècle !
    Les recettes nouvelles de Taxe Professionnelle et la dotation de l’État sont les ressources propres de la communauté qui les utilise pour sa propre politique : action économique et logement jusqu’ici, culture, tourisme et politique de l’enfance à partir de maintenant.

    Côtoyant depuis maintenant 10 ans le fonctionnement de l’intercommunalité (Syndicats de communes, c. com., communauté d’agglomération, communauté urbaine), je ne peux que confirmer ce que Mr Le Poul affirme, ce à quoi j’ajouterai cependant une petite modification en disant simplement que la communauté de communes, comme tous les Etablissements Publics de Coopération Intercommunales (E. P. C. I.), a une vocation de future collectivité locale que les SIVOM n’ont pas. Ainsi à terme – mais je ne le dis pas pour faire de l’ombre à Mr Paboeuf – le président de la communauté de commune ne sera pas forcément comme c’est le cas actuellement le maire de la commune la plus importante de la communauté (pour nous Questembert). Cela apportera de l’eau au moulin à l’incitation de faire entrer Malansac, reprochant apparemment le nombrilisme questembertois en matière d’intercommunalité.

    o Malansac aura bientôt l’occasion de corriger cette erreur, le conseil municipal ayant décidé d’émettre un vote courant avril/mai sur cette question. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, il y a maintenant plus d’un an, j’ai moi-même organisé une rencontre avec les conseillers municipaux de Malansac et St Gravé et les services comptables de la trésorerie générale pour aborder les conséquences financières de cette adhésion. Ils avaient alors tous les éléments en main, pour émettre un vote d’adhésion au 1 janvier 2007.
    Hélas un emploi du temps chargé aura sans doute remis cette décision à cette année. J’espère, comme de nombreux habitants de Malansac, que cette décision sera cette fois l’adhésion.

    En effet le départ du Père Dodu en octobre 1995, devenu l’abattoir Doux depuis 1991, obligeant sans doute la municipalité à profiter de la dernière T. P. pour le maximum de concrétisations nécessaires à la commune, même avant de toucher les compensations de l’Etat pour la délocalisation, a dû faire passer au second plan cette candidature. S’agissant d’un choix politique – que je respecte – né de circonstances exceptionnelles, je comprends que l’on a voulu laisser passer une année avant de se pencher posément, avec le recul nécessaire sur cette candidature et le départ de notre fierté locale (adopter l’adhésion aussitôt aurait pu aussi décevoir voire donner le sentiment d’abandon aux habitants et surtout les anciens employés habitant sur Malansac, très attachés à leur usine).

    Je me souviens de mon grand-père (Alfred Poirier) qui a été adjoint et tenait sa ferme à la Vallée, à Malansac. A travers son travail d’agriculteur, c’est le travail agricole, génération après génération, aujourd’hui éleveurs de volailles que je vois, travaillant avec l’abattoir.
    Le départ du Père Dodu (excusez-moi de ne pas parler de son repreneur …), de par le décès de Jacques Hervieu (j’avais 13 ans) fut pour moi l’évidence de la mort de Malansac. Ma formation en comptabilité à 15 ans m’a appris à modérer mon opinion, comme on dit. Mais l’attitude du premier groupe européen dans ce secteur, avicole, a eu raison de la légitimité de la politique capitaliste de cette entreprise – qui plus est – familiale (Charles, Thierry Doux, etc. …), à mes yeux.
    Indirectement mais quand même lié à cela, outre un parcours personnel difficile n’ayant pas atteint le niveau BTS nécessaire pour travailler dans la comptabilité, après avoir travaillé à Bellevue ainsi qu’à Pleucadeuc (un stage dans une entreprise et des saisons au Père Dodu), ce qui m’amène à penser la même chose pour Pleucadeuc que pour Malansac je quittais Malansac – pour Lorient, Rennes, puis la région et le milieu professionnel privé. Cela m’ayant valus une période de 5 mois « sans domicile fixe », je me repris en main dans la plus grande ville qui m’a parue être la plus humaine à travers la France : Lyon. Un choix que je ne regrette pas aujourd’hui, comme vous pouvez le constater, excepté le regret de ne pas pouvoir vivre vers Malansac / Questembert, où mes années de scolarités et de formations professionnelles m’ont été les plus importantes (19 de mes 25 premières années).
    11 ans après, 10 à la Ville de Lyon dont 7 à la mairie centrale le concours d’Agent Technique obtenu, je suis membre du bureau du conseil de mon quartier dans le 8è arrondissement (les conseils de quartiers sont obligatoires dans les villes de plus de 80 000 habitants), le 2ème arrondissement le plus important en habitants de Lyon. Une participation que m’a demandée un adjoint de la mairie, que des circonstances douloureuses m’ont amenées à précipiter (explosion au gaz dans notre résidence, mon travail étant dans la sécurité incendie des bâtiments de la Ville de Lyon, au poste de garde de l’hôtel de ville qui assure encore pour quelques mois l’accueil du grand public), et qui m’a permis de connaître le rôle de représentant des locataires (dans mon bâtiment, ma résidence) et des habitants de mon quartier. Pour vous donner une idée du quartier Laënnec où je vis depuis 2001, Lyon qui en compte 35, pour une population totale de 460 000 habitants (soit une moyenne de 10 à 15 000 h. pour un quartier) a 9 arrondissements, dont le 8ème est donc très peuplé (75 000 h. / 6 quartiers).
    En dehors de mes activités professionnelles et de quartier, je suis en photos (pour l’archivage) et dans des réunions publiques les actuels projets d’aménagement ou de rénovation de quartiers sur Lyon et la communauté urbaine qui, s’ils n’ont rien à voir avec l’aménagement d’une commune comme Malansac, commence à avoir un (léger) rapport avec une c. com. C’est la raison pour laquelle la participation à ce forum, ce dont je remercie Mr Paboeuf, m’aide énormément à la compréhension de l’actualité de Malansac, du canton de Rochefort et donc de ce que j’espère être très prochainement la communauté de toutes les communes des cantons de Rochefort-en-Terre et de Questembert, Malansac comprise. Encore merci. Très sincèrement et chaleureusement, Yannick Poirier.

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