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Primaires citoyennes

C’est vous qui décidez

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Ouvertes à tous les citoyens qui se reconnaissent dans les valeurs de la gauche, les primaires citoyennes permettent de choisir le candidat ou la candidate qui portera l’étendard de la transformation et de la justice sociales. Elles auront lieu les 9 et 16 octobre prochain. Pour le secteur de Questembert, deux bureaux de vote seront installés dans la salle des mariages de la mairie.

Voir en ligne : Des réponses à toutes vos questions

Des primaires ouvertes à tous

Tous les citoyens français inscrits sur les listes électorales avant le 31 décembre 2010 peuvent participer au vote. Et lors de la primaire, il suffit de s’acquitter d’une participation au frais d’organisation de 1 € minimum et de signer une charte d’adhésion aux valeurs de la gauche. C’est vous qui choisirez le candidat du changement en 2012 !

Tous les mineurs qui auront 18 ans au moment de la présidentielle, ainsi que les mineurs membres du PS ou du MJS et les citoyens étrangers membres du PS ou du MJS pourront également voter à condition de s’inscrire avant le 13 juillet.

Une élection transparente et démocratique

Les primaires citoyennes respectent les principes d’une élection républicaine et garantissent la sincérité du scrutin, l’anonymat du vote. C’est un processus légal, démocratique, totalement conforme à la loi, et d’ailleurs validé par le conseil constitutionnel, la CNIL. C’est un processus de vote calqué sur les scrutins républicains.
Le bureau de vote lui-même est très proche d’un bureau de vote traditionnel. Ainsi, l’électeur, après vérification de sa présence sur la liste électorale, prend les bulletins, va dans l’isoloir, les place sous une enveloppe opaque et se présente à l’urne (transparente). Comme pour les autres scrutins, le dépouillement sera public : vous pouvez si vous le souhaitez assister au dépouillement une fois le vote de votre bureau terminé.

En cas de litige, une haute autorité indépendante a été nommée, en accord avec tous les membres du comité national d’organisation des primaires. Elle examine les éventuels recours et proclame les résultats du vote.

La droite est inquiète : elle cherche à faire peur

Les primaires sont une formidable avancée démocratique. Si l’UMP tente de déstabiliser les électeurs en mentant sur les primaires citoyennes, c’est parce qu’elle en a peur. Elle sait que ces primaires vont donner de la force à la dynamique du changement.

Alors qu’elle a fait proliférer le nombre de fichiers, augmentant leur nombre de 30% entre 2007 et 2008 (ils sont passés de 34 à 45), et provoquant de très vastes mobilisations citoyennes comme contre le fichier Edvige (devenu EDVIRSP), l’UMP tente aujourd’hui de discréditer un processus démocratique et transparent qui ménera à la victoire de la gauche en 2012.

Les primaires citoyennes apportent toutes les garanties en terme de respect des données personnelles et de respect du droit en vigueur.

Le plus culotté des détracteurs, mais il y a de la concurrence, c’est évidemment Copé, le chef de l’UMP qui répète que ce scrutin
risque d’être l’occasion d’un « flicage » massif des opinions politiques de la population ! Vous connaissez la formule : « les mauvaises intentions sont comme les billets de banques : pour les prêter aux autres, il faut les avoir soi-même. »

Voir ici pour décrypter les mensonges de l’UMP

Publié le dimanche 26 juin 2011, par Paul Paboeuf.

Messages

  • en organisant les primaires citoyennes ouvertes à tous ceux/celle qui se reconnaissent dans les valeurs de la gauche, le ps donne un nouvel élan à la participation démocratique. j’y serai et j’en parlerai à mes amis.

    il faut que ce soit un succès pour donner un signal à tous les Français qui veulent le changement en 2012

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  • Qu’est-t-il prévu pour le citoyen absent ces dimanches de sa commune et souhaitant participer à ces primaires ?

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  • Les 6 candidats engagés aux Primaires seront ce soir sur le plateau de France-2 pour débattre en direct. Après s’être présentés brièvement, ils seront interrogés pendant dix minutes sur leur programme par les journalistes de France-2. Enfin, ils débâteront tous ensemble pendant 50 minutes.

    Les deux autres débats auront lieu les mercredis 28 septembre et 5 octobre.

    Alors que la Droite compte ses coups bas, ses suspicions et accusations à répétition, les socialistes organisent en France l’évènement le plus démocratique que le pays n’a jamais connu.

    Les 9 et 16 octobre, la candidate ou le candidat issu(e) de cette compétition militante constructive bénéficiera d’un élan populaire efficace …

    VOTEZ NOMBREUX

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    • Certes, en début d’émission les candidats semblaient un peu intimidés, crispés.

      L’exercice est difficile, car la droite est aux aguets, pour récupérer les éventuels arguments envoyés à la figure des une ou des autres et nous les ressortir pendant la campagne. L’UMP espérait la nuit des longs couteaux socialistes. . Il n’en fut rien !

      Et ce matin tous les éditorialistes (hors dans bien évidemment Le Figaro et Valeurs actuelles), soulignent la dignité des débats.

      Les six candidats ont donné une prestation de haute tenue, une grande similitude de vues mais aussi quelques différences avec des échanges argumentés et fermes, le spectacle d’une gauche responsable, prête à gouverner et, surtout, ne voulant pas se suicider en se divisant devant des millions de Français : c’est aussi ça la dignité de la politique.

      « La leçon de civisme du PS » titre ce matin un chroniqueur, un peu de fraicheur en ces temps de mallettes d’argent sale, de confessions d’intermédiaires douteux, … .

      Les Socialistes ont la responsabilité de ne pas décevoir tous ceux qui veulent une autre manière de faire de la politique et le succès incontestable de l’audience de l’émission traduit une impression ressentie dans toutes les discussions : les primaires, vrai progrès démocratique, attirent.

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    • Les dirigeants de la gauche ont montré un vrai sens de la responsabilité, l’’image d’un futur gouvernement tout à fait crédible.

      Moi qui ne suis pas socialiste, je dois avouer qu’hier, j’ai été bluffé par la haute tenue du débat.

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