Jean-Pierre Guillot, un rosiériste passionné
Partager : sur Facebook, sur Twitter, sur Google+.
Près de cent personnes se pressaient dans la salle de la mairie pour la conférence de Jean-Pierre Guillot, invité par Frédéric Orillac du Bretagne. Le conférencier a su passionner son auditoire qui a ensuite posé de multiples questions.
Voir en ligne : Le site de la maison Guillot
La maison Guillot, la « Terre des Roses » à Lyon
Jean-Pierre Guillot est le descendant du fondateur des roseraies qui portent son nom. Il continue aujourd’hui la tradition qui remonte au début du XIX ème siècle.
Son aïeul, Jean-Baptiste, dit Guillot père, est à l’origine de la tradition lyonnaise de la culture de la Rose, et c’est en 1842 qu’il réussit sa première hybridation , la rose baptisée Lamartine à partir d’un rose Bourbon.
Jean-Pierre Guillot a raconté l’histoire de cette fleur emblématique : de la rose de chien aux superbes créations du XXème siècle. En quelques mots simples, il a fait comprendre le principe de l’hybridation, qui permet de créer de nouvelles variétés. Mais c’est un processus long, aux résultats aléatoires, même si les progrès de la génétique permettent de réduire les effets du hasard.
Une rose Questembert ?
Il a ainsi créé des roses pour des personnalités, mais aussi pour des amis... Enchanté de l’accueil qu’il a reçu dans notre petite ville, il n’a pas du tout écarté l’idée, suggérée par F. Orillac, de créer une rose dédiée à Questembert...
Les quelques catalogues qu’il a apportés se sont arrachés, mais les auditeurs ont pu laisser leur adresse pour en recevoir un exemplaire. On peut aussi le demander par internet.
Publié le dimanche 21 novembre 2010.